jeudi 28 mars 2013

Classement de la presse régionale : le lycée des Flandres parmi les meilleurs

La publication ce jeudi 28 mars 2013 par « La voix du Nord » du classement des lycées généraux et technologiques publics et privés de l'académie de Lille est cette année encore très valorisante pour notre établissement qui se situe à la 14ème place sur 138, et  en tête des lycées publics (seul l'ESAAT est classé avant mais ce n'est pas un lycée général et technologique).

 

Ce classement est principalement fondé sur le taux d'accès de la classe de première au bac.

Cet indicateur évalue, pour un élève de première, la  probabilité qu'il obtienne le baccalauréat à l'issue du cycle terminal de lycée, quel que soit le nombre d'années nécessaire. Il caractérise donc la capacité d'un établissement à accompagner ses élèves, à les encourager et les soutenir positivement et non à écarter les plus fragiles.

Pour cet indicateur le lycée des Flandres montre une valeur ajoutée de +5 ce qui le place parmi les meilleurs.

En prenant en compte le taux brut de réussite au bac qui figure lui aussi parmi les meilleurs de l'académie, le lycée des Flandres se trouve donc à nouveau très bien placé dans ce classement.

 

C'est évidemment, l'excellence du travail fourni à l'interne par les équipes enseignantes et de vie scolaire, la qualité de l'accueil, et les nombreux dispositifs d'aide et de soutien qui permettent à notre établissement de consolider par ce classement son excellente réputation. Un travail qui, au quotidien, valorise les réussites de nos élèves et soutient ceux qui sont en difficulté.

 

Pour en savoir plus sur les indicateurs publiés par le ministère : http://www.education.gouv.fr/cid3014/les-indicateurs-de-resultats-des-lycees.html#Les trois indicateurs


lundi 25 mars 2013

Les élèves du lycée des Flandres dans la cité de Jean Bart

Dans le cadre de la réforme des lycées, les élèves disposent d'un accompagnement personnalisé, effectués par des équipes de professeurs à raison de deux heures en moyenne par semaine. Tous les élèves bénéficient  d'un  quota d'heures où ils peuvent disposer d'un soutien d'un approfondissement ou de moments dédiés à l'orientation. C'est dans ce cadre, que deux classes de seconde se sont rendues à Dunkerque afin de découvrir les activités portuaires et les profondes évolutions des infrastructures qui ont accompagné le développent des échanges mondiaux. Afin de mieux maîtriser les flux de marchandises échangées avec le reste du monde, nos moussaillons ont embarqué à bord de la vedette « Texel » afin de mieux connaître le trafic maritime et plus précisément les produits échangés ainsi que leur pays d'origine.

Après une découverte très instructive, les élèves hazebrouckois ont regagné la terre ferme et se sont rendus au musée portuaire. Ils ont pu bénéficier d'une visite guidée où l'évolution et la transformation du port dunkerquois ont été expliquées. Ils ont pu aussi bénéficier de deux ateliers spécifiques,  l'un portant sur les métiers du port, l'autre ayant pour objet la transformation du commerce dans le port autonome de Dunkerque. Après des échanges fructueux, les élèves ont regagné leur port d'attache à Hazebouck.

Aventures siciliennes…

C'est plein de curiosité et d'enthousiasme que 49 élèves du lycée des Flandres à Hazebrouck  sont partis à la découverte de la Sicile. Leur circuit d'une semaine les a menés de la chapelle palatine de Palerme au parc archéologique de Syracuse, en passant par la vallée des temples d'Agrigente, entre autres. Les élèves ont ainsi voyagé dans le temps, passant de l'antiquité grecque ou romaine à la période arabo-normande puis baroque. Ils ont pu apprécier ces différents styles architecturaux sous un soleil éclatant.

La semaine a été couronnée par une balade sur le mont Etna ; les fumeroles s'échappant du sommet ont émerveillé nos jeunes nordistes peu habitués à ce genre de spectacle, tout à fait exceptionnel ! Ce périple a été enrichi par deux escales tout aussi intéressantes : Pompéi à l'aller et Rome au retour.

Le contentement se lisait sur les visages bronzés des élèves qui rêvent déjà à d'autres aventures…

 

vendredi 22 mars 2013

Concours académique de Physique-Chimie au collège des Flandres

Les élèves du Collège des Flandres se sont fortement mobilisés pour le concours de physique-chimie organisé par l'Académie de Lille et leurs professeurs de sciences-physiques, Messieurs Clabaut et Vétu. En effet, ce ne sont pas moins d'une centaine de collégiens volontaires qui ont planché sur les questionnaires à choix multiples. Pour répondre aux interrogations variées : une bonne connexion à internet et deux heures de recherche.

Les thèmes abordés sont à la pointe des dernières recherches en science appliquée : la supraconductivité et la lévitation pour la classe de cinquième, la fibre optique et le très haut débit pour les élèves de quatrième, les filets attrape-brume pour l'alimentation en eau douce des zones les plus arides de la planète pour les futurs lycéens.

En prime et pour départager les meilleurs, une affiche ou un dessin sur les thèmes abordés est réalisé par chaque candidat. L'accent est porté sur la qualité de l'œuvre et son originalité.

Après une longue analyse, le jury a pu désigner les élèves de chaque niveau, lauréats du concours pour le collège des Flandres. Ceux-ci sont sélectionnés pour le niveau académique du concours.

 

Niveau cinquième

è Yasin Ozbas de 5ème Buisson

è Lucie Boutez de 5ème Dunant

è Jean Delmotte de 5ème Dunant

 

Niveau quatrième

è Marine Deputte de 4ème Gide

è Jessica Desenne de 4ème Gide

è Typhaine Hennegraeve de 4ème Gide

 

Niveau troisième

è Louise Bollengier de 3ème Morgan

è Elodie Cordonnier de 3ème Nicolle

 

Journée de recrutement au Lycée des Flandres

Les étudiants en seconde année de BTS Management des Unités Commerciales terminent actuellement leur scolarité au Lycée et préparent activement l’examen dont les premières épreuves se dérouleront après la rentrée des congés scolaires de Printemps.

Parallèlement à cette échéance, cette période est également propice à la réflexion sur l’avenir proche de chaque étudiant et à ses choix d’intégration professionnelle pour ceux qui arriveront sur le marché du travail dès cet été.

 

Afin de les préparer à cette échéance pas toujours aisée à appréhender, une journée  d’entretiens de simulation d’embauche leur a été proposée jeudi 21 mars.

 

Organisée par leurs enseignants de spécialité, Mark Mazières et Brigitte Palliser, cette journée de recrutement a permis aux 30 étudiants de seconde année de BTS de rencontrer des responsables d’entreprises des secteurs d’activité vers lesquelles ils pourront être amenés à postuler dès cet été, une fois leur examen obtenu.

 

Les enseignants avaient convié des décideurs d’entreprises du secteur de la distribution comme Carrefour pour la grande distribution, Jules et Okaïdi pour le prêt-à-porter et le Crédit Agricole pour le secteur bancaire.

 

Lors d’entretiens individuels, chaque candidat a ainsi pu présenter ses motivations et son projet professionnel à partir de CV et lettres de motivation préparés préalablement en cours, sur la base d’annonces d’offres d’emploi sélectionnées selon leur domaine d’activité souhaité. Chaque entretien était suivi d’un débriefing au cours duquel le recruteur a donné des conseils à chaque candidat sur la façon de se présenter, d’amener son projet professionnel, de participer à l’échange et d’une manière plus générale de bâtir l’entretien.

 

Ces simulations ont permis aux étudiants de se confronter à la réalité du monde professionnel, de cerner les enjeux de l’entretien et d’appréhender les attentes du monde de la banque et de la distribution en termes de profils et de  compétences  attendues.

 

En fin de journée, les professionnels invités ont noté le niveau de préparation des candidats, avec d’une manière générale un degré d’investissement important. Rompus à ce type d’exercice, tous ont mis en avant la nécessité de ce type de préparation, qui permet de maitriser les enjeux de cette phase essentielle du recrutement et de l’appréhender de manière plus sereine par la suite.

 

Espérons que ce premier contact entre les étudiants et le monde professionnel permettra d’en nouer d’autres afin que les prochains entretiens débouchent sur des propositions professionnelles réelles !

lundi 18 mars 2013

Atelier d’écriture journalistique avec Madame Baranek, correspondante pour La Voix du Nord

18 03 2013
Madame Baranek a offert un peu de son temps jeudi 14 et vendredi 15 mars aux élèves de 3éme qui travaillent sur les métiers du journalisme et des médias. Correspondante pour La Voix du Nord à Hazebrouck, Madame Baranek est venue nous parler de son activité mais aussi aider les élèves à rédiger un article en leur prodiguant trucs et conseils de pro.
Madame Baranek a d’abord expliqué comment elle était devenue correspondante locale. Cherchant à reprendre une activité, elle a un jour écrit un article pour La Voix du Nord, qu’elle a découvert publié dans l’édition suivante. Elle a donc continué de travailler pour La Voix du Nord, et cela même lorsqu’elle a repris son métier d’éducatrice. Car le correspondant local n’est pas un journaliste : il a une activité annexe et écrit sur demande spécifique des articles ponctuels. “D’ailleurs, insiste-t-elle, écrire pour La Voix du Nord m’a beaucoup aidé dans mon métier ; je dois faire des compte-rendus de ce que je fais avec les personnes dont je m’occupe, et je suis bien plus à l’aise maintenant. C’est un vrai plus dans n’importe quel métier de savoir écrire”.

Si le correspondant local n’a pas de formation, il apprend sur le terrain. Il écrit selon les besoins du journal, couvre des événements locaux. Il dispose d’un logiciel qui compte le nombre de signes de l’article. Et il envoie l’article qui est relu plusieurs fois à la rédaction, mais rarement coupé. Mais il faut dire qu’avec l’expérience, l’écriture devient automatique : d’abord les informations principales : qui, quand, où. Ensuite, on essaie de rendre compte de l’ambiance, comme dans l’article sur le carnaval que Madame Baranek a apporté pour le montrer aux élèves. Et l’on fait parler les gens, pour faire vivre l’article, pour y glisser de l’humain. Le plus difficile ? Le côté technique de certains articles pour lequel il faut se documenter “comme pour ce papier sur un élevage porcin ou celui sur la FNATH qui traitaient de lois et de décrets assez pointus”.

Forts de ces conseils, les élèves se transforment alors en journalistes face à une rédactrice en chef ouverte et pleine de patience. Chaque groupe montre son article à Madame Baranek, qui corrige, précise, reformule avec eux. Les élèves travaillent leur accroche, leur titraille, leur style, tel qu’il l’ont appris en cours de français, et Madame Baranek leur apprend ses “trucs” à elle : penser au lecteur, toujours, aller à l’essentiel, faire court, donner à voir et rendre vivant, faire parler les gens. Et les apprentis journalistes appliquent ces conseils : ce n’est pas tous les jours que l’on peut écrire avec une spécialiste !

L’atelier d’écriture journalistique a rempli son objectif : les élèves peuvent vaincre l’angoisse de la “ligne blanche” et repartent avec de nouvelles pistes. L’exercice n’est pas facile, mais ils sont satisfaits. Madame Baranek s’est montrée totalement convaincante et d’une disponibilité hors du commun avec les élèves. Elle est l’exemple vivant de la passion pour un métier, fût-il annexe, et l’on comprend que ce sont ces qualités personnelles, aussi, qui expliquent qu’elle n’arrêtera pas son activité de correspondante locale. "Comment arrêter ?" remarque-t-elle. "Les gens maintenant me connaissent tous, ils sont habitués à moi et moi à eux. On a créé des liens et j’aime ce que je fais" conclut-elle. Nous aussi, Madame Baranek, nous avons été heureux de créer des liens et on aime ce que vous faites.

samedi 16 mars 2013

Rencontre avec Lucie Chaumette : une étudiante de l’Ecole Supérieure de Journalisme de Lille passionnée et passionnante

13 03 2013

Ancienne élève du collège, Lucie Chaumette est revenue aux sources lundi 11 mars. Quoi de plus normal, pour une future journaliste, que cet attachement aux sources… Invitée par l’équipe enseignante qui travaille sur les métiers du journalisme et des médias avec deux classes de 3ème (les Richet et les Nicolle), elle s’est montrée captivante et très pédagogue.

Après avoir relaté son parcours : Science Po Lille, un stage d’une année au Chili et la réussite au concours de l’École de Journalisme de Lille, elle explique aux élèves qu’elle a toujours privilégié les études généralistes pour laisser sa vocation de journaliste s’affirmer. En l’écoutant, on ne doute pas cependant de cette vocation.
Elle fait partager sa passion en abordant tous les aspects étudiés par les élèves : la hiérarchisation de l’information, guidée par la notion de proximité de l’information, l’importance du public dans les choix et le traitement de l’information, ou encore l’influence des médias sur l’opinion.

Très pédagogue, elle explique en illustrant à chaque fois son propos. On hiérarchise l’information en fonction de l’intérêt des gens : la neige à Hazebrouck n’aura pas le même impact sur la vie des lecteurs que le conflit au Mali, même si les deux informations sont importantes. D’ailleurs, le public est la préoccupation première du journaliste : “dans les rédactions, tout le monde connaît “Madame Michu” (l’archétype du lecteur, du spectateur ou de l’auditeur). Il faut toujours se demander si “Madame Michu” sera intéressée par cette info, et il faut toujours veiller à ce que “Madame Michu” comprenne l’info”.
Viennent ensuite les questions sur le métier de journaliste. Son choix ? Lucie Chaumette l’explique par une immense curiosité pour tout, son envie de rencontrer des gens différents, d’apprendre sans cesse dans tous les domaines, et de faire des choses différentes tous les jours. Ce qu’est un journaliste ? Lucie précise le statut du journaliste ( régime de sécurité sociale et de retraite spécifique ) ainsi que les modalités d’obtention de la “fameuse”carte de presse possédée par environ 37 000 journalistes et délivrée par la Commission de la carte d’Identité des Journalistes professionnels.
Côté professionnalisme, le journaliste travaille les techniques du traitement de l’information et se forge des qualités particulières : objectivité, écoute, analyse, expression. Car, comme le précise M. Buisine en parfait “maître de cérémonie” : ” Être informé, ce n’est pas seulement être au courant”. Et lorsque l’on évoque le journalisme citoyen, elle réagit vivement : “Non, le journalisme citoyen n’est pas du journalisme. Tout le monde ne peut pas se déclarer journaliste, même s’il diffuse une information, une photo, une opinion, parce que le journaliste, contrairement au citoyen lambda, possède une responsabilité face à l’information qu’il diffuse, une responsabilité vis-à-vis des gens à qui il s’adresse.” Enfin, elle répond à une question sur l’influence des journalistes sur l’opinion : “C’est aux gens de prendre du recul, de réfléchir, en croisant les médias par exemple. Les journalistes ne font que donner la base d’une réflexion sur le monde, sur la vie autour de nous.”
Lucie, rédactrice en chef du CDI
Qu’il est difficile de clore cette rencontre ! Encore une question de Clément : “Vous est-il déjà arrivé d’avoir un fou rire devant la caméra ?” et l’on décide que les autres questions seront posées par mail. Car l’heure tourne : il est temps pour Lucie de regarder la vidéo tournée par les 3èmes Nicolle. Faute de temps pour prodiguer tous les conseils et les remarques nécessaires, Lucie Chaumette transforme le CDI en salle de rédaction pour étudier la vidéo, l’analyser et taper un “ours” pour les élèves. Consciencieuse et passionnée jusqu’au bout.

Réactive, polyvalente, captivante, nul doute que Lucie Chaumette est une professionnelle du journalisme dans l’âme. Elle a même laissé un petit message vidéo aux élèves pour l’émission qu’ils montent avec Mme Berlem : “Continuez à vous informer, c’est très important ; continuez à vous poser des questions, parce que c’est comme ça qu’on avance.” Merci Lucie !

samedi 9 mars 2013

Les voix au musée, 08 mars 2013


 

Ce vendredi 08 mars, journée de la femme, fut aussi une journée exceptionnelle pour le LGV qui a pu se représenter en concert dans un lieu chargé d'Histoire : le musée départemental de Flandre de Cassel, et ce pour trois représentations.
Le LGV a ainsi offert au public un récital exceptionnel au milieu des œuvres du musée.



Voir toutes les photos, tout en écoutant quelques extraits du concert, à cette adresse : 

mardi 5 mars 2013

Des élèves de Seconde à Broadstairs

Quarante élèves de seconde ont participé à un séjour linguistique d'une semaine dans la ville de Broadstairs, dans le Kent.

Logés chez l'habitant, ils ont eu l'occasion de mettre en pratique l'enseignement suivi à la « Kent School of English » où ils ont assisté à 5 matinées de cours d'anglais.

Lors de ces cours, les élèves étaient répartis en petits groupes adaptés à leur niveau afin de faciliter la prise de parole.

Durant le séjour, ils ont également visité Canterbury et Ramsgate et ont profité d'une visite guidée de la capitale où le froid et la neige n'ont pas eu raison de leur enthousiasme ! 

lundi 4 mars 2013

FLANDR'AERO S'ENVOLE POUR L'ANGLETERRE .

« Flandr’aéro » est le nom d’une toute nouvelle association hazebrouckoise, celle des étudiants de première année de la section de techniciens supérieurs Aéronautique du lycée des Flandres.

 

Le premier projet de cette association vient d’être réalisé avec succès puisque les étudiants sont revenus enchantés d’un séjour d’une semaine passée à Broadstairs dans la « Kent School of English », école de langues accréditée par le British Council.

 

Le séjour très complet comprenait à la fois des cours de conversation, des visites d’entreprises (Aviation Summit et Polar Helicopters), de musées (musées de la Royal Air Force et du Spitfire) ainsi que des activités diverses.

 

Ce séjour, organisé par leur professeur d’anglais Madame Roussel, visait à la fois la découverte du pays et le mode de vie de nos voisins britanniques mais il avait surtout pour but de faire décoller leur niveau d’anglais car, dans le monde de l’aéronautique, les techniciens s’expriment dans la langue de Shakespeare !